lundi 30 juillet 2012

Cadeau

Jour de sa fête. Je ne sais quoi lui offrir. Il fait chaud. A mon arrivée, elle n'est pas à la maison. La fatigue se faisant sentir, je m'allonge nue dans la pièce la plus chaude de la maison. Tant qu'à ne pas avoir de présent, si elle me trouve ainsi cela lui conviendra peut être. Je m’assoupis.
Elle arrive, joyeuse; elle a complètement oubliée sa fête. Elle me demande de fermer les yeux en disant avoir un présent. Je m'exécute. Lorsque j'ai l'autorisation de les ouvrir je découvre une cravache encore inconnue. Elle me vente sa souplesse et son cuir. L’apercevoir suffit à me préparer mais elle fait durer encore et encore. Enfin elle la fait claquer dans mon entre jambe. Toujours arythmique. Toujours ferme. Toujours à l'écoute. Je rêve qu'elle me prenne mais elle claque encore. Elle s'acharne longuement sur cet entrejambe qui lui offre une large vue sur mon sexe prêt à la recevoir. Elle ne me prend pas.
Je fini par me retourner en signe de protestation. Ce n'est qu'avec plus de plaisir qu'elle fait claquer la cravache sur mes fesses que je sens rougir. Elle ne me prend pas. Cela devient insupportable. Coup après coup, je vais plus loin, je sens la jouissance arriver. Je retiens. Je veux qu'elle me prenne, je veux la sentir en moi. Je ne tiens plus. Mon corps m'emporte.

 Pour la suite, il me faudra attendre le lendemain.

samedi 28 juillet 2012

C'est du propre

Prendre une douche
Sortir
Se faire prendre
Prendre une douche

Pour l'inconnue

Je baise depuis un moment. Après l'accouchement ce n'était pas facile. Même les fantasmes ne fonctionnaient plus. Puis c'est revenu. Depuis la réapparition de mon clitoris, ça fait plus d'une année. Voilà peu de temps que tout est revenu.

Les fantasmes, les filles en jupe, les regards aujourd'hui tout me fait mouiller. J'ai fouillé le net pour assouvir ce désir de sexualité. A force de chercher je suis tombée sur ce blog. Mon propre blog de cul, délaissé en période de sécheresse.

J'ai vu un commentaire. J'ai lu.

Il est beau. Il est fort.

Si fort que, moi qui ne pensait pas remettre les pieds un jour ici, je vais revenir.
Il me faudra du temps. Le temps d'écrire ici est long. Il me faut arriver à poser des mots sur des images et des sensations difficiles à décrire. Je prendrais le temps.

Juste pour ces mots. Pour ses mots.